Dans la famille des classiques, je demande Le château des Carpathes.
Ayant récemment déniché ce manuscrit emblématique de l’illustre Jules Verne, je me suis dit qu’il était temps de combler une lacune décennale (estimation temporelle complètement subjective, sachant que j’ai aujourd’hui 28 ans 🙂 )
Restituons d’abord le contexte du livre : nous avons affaire à un livre délivrant une forte ambiance gothique, introduisant les habitants d’un hameau transylvain : à ma gauche, les superstitieux, persuadés que l’environnant château des Carpathes est maudit, habité de spectres et autres créatures horrifiantes, à ma droite les rationalistes – ils se comptent sur les doigts d’une main, il va s’en dire – qui vont prendre le problème à-bras-le corps… et tenter l’incroyable périple qui les mènera à la visite du château.
Que des murs aient des oreilles, passe encore, puisque c’est une locution qui a cours dans le langage usuel… mais une bouche !…
Excellent ! Voilà le mot qu’il me vient à la lecture de la dernière page de cet ouvrage. Pris dans la spirale de l’auteur, j’ai adhéré à la narration qui distille savamment et au fil de l’eau des éléments de réponses, mais qui ne révélera l’ultime secret du mystérieux Château des Carpathes qu’à la lisière d’une intrigue joliment ficelée.
J’oubliais… Aussi incroyable que ça peut l’être, l’écriture de ce petit bijou littéraire s’est achevée plusieurs années avant le Dracula de Bram Stoker !
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